À quelques jours de l’Albret Jazz Festival, il faut rappeler le rôle essentiel joué par les petites mains. Zoom sur les bénévoles, leur sens de l’organisation et de la gestion.
Préparer un festival de bout en bout demande du temps, de la précision, et une équipe hors pair. Les bénévoles sont les petites mains, les ouvriers des coulisses. Nul besoin de rappeler que leur rôle est essentiel au bon déroulement de l’événement.
Parmi ceux qui s’occupent de ce week-end jazz, il y a Marie-Line Gamarde, élue à la commune de Feugarolles, et Sébastien Lopez, résident à Buzet. On avait déjà parlé de ce dernier dans nos pages, à l’occasion de la sortie de « Dans ses pas », son livre coécrit et illustré avec Damien Teyssandier. Tous les deux sont des passionnés de musique. Il faut bien cela pour mener trois jours de jazz. Sébastien a commencé par un petit festival devenu grand : Garorock ! « J’étais au conseil d’administration », se souvient-il. « Ensuite, j’ai continué le bénévolat sur d’autres festivals de jazz ».
Un plaisir
Marie-Line aime la musique en général, « avec une attirance pour le jazz. J’ai des goûts éclectiques, je suis une grande amoureuse de la musique ». Elle a également commencé le bénévolat par un festival avec la Garonne dans son nom. Le Garonna Show, à Port-Sainte-Marie, lui tient aussi à cœur. « Le maire de Nérac m’a contactée pour me proposer de faire partie des bénévoles sur Albret Jazz Festival. Comme je connaissais déjà quelques-uns des artistes programmés, j’ai accepté. C’est aussi plus facile quand on veut se documenter sur eux ! ».
Tous les deux sont unanimes. Le bénévolat est un plaisir, en plus d’être nécessaire sur ces événements. Pour Sébastien, être acteur d’un festival n’apporte que du positif. « La plus belle des récompenses, c’est de voir le sourire des gens, qu’ils partagent un bon moment, et les entendre dire « je veux revenir l’an prochain ! ». Il y a de petits moments de galère, bien sûr, mais on les oublie vite et après, on en rigole. On a une super ambiance, il n’y a aucune rivalité, aucun esprit de concurrence entre nous tous. C’est un shoot de bonheur, de bienveillance. »
« Une bonne dynamique »
« Je ne compte pas mes heures », s’amuse Marie-Line. « Le cadre est agréable et nous avons une bonne dynamique. »
Pendant que Marie-Line s’occupe de l’accueil des partenaires à la buvette, et de veiller au confort des artistes (en leur prévoyant l’eau et la nourriture), Sébastien se charge de la coordination des actions des bénévoles (avec Marie, une salariée). « Il faut qu’on intervienne au moindre souci. On fait essentiellement de la gestion d’imprévus », développe-t-il. « Tout ce qui se passe derrière la scène doit être nickel. »
Le seul facteur de risque, c’est la météo. « En cas de pluie, nous devrons nous débrouiller pour que la fête continue malgré tout », conclut Marie-Line.
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