Il y avait comme un air de Broadway sur la scène du Cube samedi soir. Sauf que ça swinguait comme à Meudon mais à Troyes. Et comme pour préparer les spectateurs à ce qui allait les attendre pendant deux heures, dans les haut-parleurs retentissaient, juste avant le spectacle, les plus grands tubes de Michel Sardou. Et pour cause, la star du jour, c’était lui, enfin ses chansons intergénérationnelles, qu’on connaît par cœur et qu’on chante en chœur.
Les premières notes d’En chantant retentissent, nous voilà prêts à embarquer à bord du France direction New York, avec une bande d’amis d’horizons différents qui, au gré des années, nous offrent un voyage en chansons à travers le répertoire de Michel Sardou et par là même à travers l’histoire de France, notamment sur J’accuse.
Mais imaginer une comédie musicale autour de ses titres était un sacré défi que toute la troupe de « Je vais t’aimer », sous la houlette de son producteur Roberto Ciurleo, relève depuis près de trois ans avec brio. Ils ont su s’appuyer sur une histoire pour donner une autre dimension, parfois une autre lecture, aux plus grands tubes de l’artiste, dans un décor un brin rétro avec des tenues pleines de peps et un brin d’humour.
Une belle manière
de remonter le temps
en offrant une autre
dimension
aux plus grands
tubes de l’artiste
Une belle manière de remonter le temps sans tomber dans la nostalgie, de revivre des époques révolues et d’en prendre plein les yeux, des scènes new-yorkaises au port du Havre. De Chanteur de jazz aux Ricains en passant par J’habite en France, Les bals populaires, l’incontournable Java de Broadway, ça swingue, ça chante, ça joue la comédie et ça danse, pour le plus grand bonheur des spectateurs.
Un public attentif qui chante pour ainsi dire chaque parole, en toute discrétion, en même temps que les artistes.
Un public, bercé plus jeune par Michel Sardou, qui a ses madeleines de Proust et cherche à immortaliser les moments forts comme Je vais t’aimer, La maladie d’amour, Les vieux mariés, le frissonnant Le France et l’indémodable Les lacs du Connemara qui a rapidement donné le ton de la soirée.
Pendant plus de deux heures, « Je vais t’aimer » nous plonge avec délice dans La rivière de notre enfance. Samedi soir, les Aubois étaient « là pour faire les fous » sur des « airs populaires ».
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