

Jazz à Vienne, 33e édition, un point de l’univers : concentration d’ondes du cosmos, amphithéâtre romain de 7 403 places, pierre ; trois concerts par soir jusqu’au samedi 13 juillet, sous le ballet compliqué des martinets. Lesquels, soit dit en passant, sont de moins en moins nombreux. Lieu intimidant ou flatteur pour les artistes, passage du jour à la nuit, Jazz à Vienne aligne, lors de sa soirée Caraïbes, Céline Bonacina Réunion, et les deux légions historiques de la Martinique et Guadeloupe : Malavoi (Ralph Thamar, chanteur) et Kassav.
Programmer Cécile Bonacina sur la grande scène n’est pas rien. Elle en veut, elle a la justesse, la souplesse et le son des barytons historiques (Serge Chaloff, Pepper Adams), la rage rieuse des modernes. Reste à assurer sa légitimité sans fard. La justesse est-elle un préjugé bourgeois ? La virtuosité, un leurre du libéralisme effréné ? Céline Bonacina maîtrise le tempo medium (le tempo des dieux) et sait écorcher les notes. Le groupe tourne rond.
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