Électro-jazz. Entre jazz et java, il y a de l’orage dans l’air dit la chanson. Le temps semble au beau fixe entre jazz et électronique.

Noces de braise entre jazz et électro

Jazz à l’Olympia reçoit le magicien des machines, Saint-Germain, ce soir et le trompettiste Érik Truffaz ce lundi. Une musique électronique de chair et de… sens. Réflexion.

Depuis quelques années, le jazz et la musique électronique filent le grand amour, à travers de purs bonheurs qui ont pour noms Érik Truffaz, Saint-Germain, Laurent de Wilde, Julien Lourau (pour ce qui est de la France), Bugge Wesseltoft ou Nils Petter Molvaer (pour la Norvège, autre pôle de cette sensibilité musicale). Pourtant, il y a encore peu de temps, nombreux étaient ceux – des deux bords – qui croyaient avoir affaire à une simple passade, un phénomène de mode. Les mélomanes en ont décidé autrement, scellant cette union de leur écoute subjuguée. Le subtil trompettiste Érik Truffaz, qui réside aux pieds du Jura, et le solitaire parisien Saint-Germain, magicien des machines, tous deux…

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